Voie d’insertion professionnelle par excellence, l’apprentissage est encore considéré comme une « voie de garage ». Le Gouvernement présente des mesures pour le rendre plus attractif. 60% des métiers qui seront exercés en 2030 n’existent pas encore et 40% de nos emplois seront impactés par la transition numérique… Pour affronter les bouleversements à venir sur le marché du travail, Emmanuel Macron a toujours affirmé que « la plus grande des sécurités, c’est la compétence ».
La réforme des systèmes de formation professionnelle et d’apprentissage a été placée au cœur du projet présidentiel pour protéger les travailleurs après avoir libéré les énergies. La République En Marche a donc organisé une grande consultation pour en faire le diagnostic. Celui-ci est sans appel : ces systèmes ne répondent pas aux attentes des Français, ni aux demandes des employeurs. Les recommandations issues de cette consultation ont été présentées au Gouvernement tout au long de leur traitement. Sur l’apprentissage, la ministre du Travail a ensuite présenté les orientations de sa réforme, fondée sur un diagnostic similaire à celui de la consultation : nous devons « créer un système simple, souple qui soit adapté aux jeunes et pas l’inverse » comme l’a indiqué Muriel Pénicaud. ✅ Une réforme nécessaire pour l’emploi des jeunes Cette refonte était indispensable car personne ne peut se satisfaire de la situation actuelle. Le potentiel de l’apprentissage pour l’emploi des jeunes est largement inexploité.
L’attractivité de l’apprentissage est considérée comme le cœur du problème. Pour y répondre, le Gouvernement a présenté 5 mesures qui valoriseront la filière.
Ces mesures répondent au diagnostic dressé par la consultation de La République En Marche. ✅ Adapter l’apprentissage aux besoins des entreprises Le Gouvernement a présenté un second axe pour sa réforme : « donner une place centrale au monde professionnel dans le fonctionnement de l’apprentissage. C’est la marque des systèmes qui fonctionnent chez nos voisins », comme l’a expliqué le Premier ministre, Edouard Philippe. En effet, aujourd’hui, trop peu d’entreprises y ont recours. Cette réforme comporte 5 mesures qui concordent avec le besoin d’attractivité qui ressortait de la consultation organisée par La République En Marche :
|
Categories
Tout
|
Point de rencontre
|
|