Corbeil-Essonnes En Marche !
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À Corbeil-Essonnes, LaREM renie ses valeurs : nous démissionnons

2/27/2020

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Le 18 juin 2019, le comité Larem de Corbeil-Essonnes décidait à l’unanimité des votants de travailler à un large rassemblement pour apporter du renouveau à Corbeil-Essonnes. Quelques jours plus tard, Jean-Luc Raymond, ancien adjoint aux travaux de Serge Dassault annonçait sa candidature à l’élection municipale et la création de sa liste pour laquelle seules, 3 personnes du comité de Corbeil-Essonnes avaient été sollicitées.
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La République a besoin de vous !

6/24/2019

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Réuni en assemblée générale le 18 juin, le comité LaREM de Corbeil-Essonnes a decidé de s'inscrire pleinement dans la démarche citoyenne impulsée par La République en Marche ! A l'unanimité, les initiatives individuelles et marginales ont été refoulées au profit d'une construction collective et responsable, capable d'apporter le changement que les Corbeil-Essonnois attendent !
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Beaucoup de sympathisants de LaRem, pour ne pas dire la totalité, partagent notre volonté de renouvellement et de changement à Corbeil-Essonnes. Lors de nos présences sur les marchés, dans les gares, dans les réunions publiques que nous organisons, ils nous témoignent leur mécontentement face à la gestion municipale et aux dysfonctionnements qu'elle engendre dans le quotidien de nos concitoyens. Un renouveau s'impose !

Pour rassembler toutes les bonnes volontés et fédérer tous les acteurs locaux qui souhaitent prendre part à cette démarche citoyenne. C'est Jean-Philippe DUGAULT, animateur local de la République en Marche qui a été mandaté à l'unanimité des votants pour mener à bien cette action de rassemblement pour apporter éthique et progrès à Corbeil-Essonnes.

Si vous souhaitez être acteur de ce changement et prendre part à cette construction citoyenne, vous pouvez prendre contact au 06 11 84 73 73 ou par mail 

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La lettre du Président de la République aux Français

1/30/2019

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Chères Françaises, chers Français, mes chers compatriotes,

Dans une période d'interrogations et d'incertitudes comme celle que nous traversons, nous devons nous rappeler qui nous sommes. La France n'est pas un pays comme les autres. Le sens des injustices y est plus vif qu'ailleurs. L'exigence d'entraide et de solidarité plus forte.

Chez nous, ceux qui travaillent financent les pensions des retraités. Chez nous, un grand nombre de citoyens paie un impôt sur le revenu, parfois lourd, qui réduit les inégalités. Chez nous, l'éducation, la santé, la sécurité, la justice sont accessibles à tous indépendamment de la situation et de la fortune. Les aléas de la vie, comme le chômage, peuvent être surmontés, grâce à l'effort partagé par tous. C'est pourquoi la France est, de toutes les nations, une des plus fraternelles et des plus égalitaires.

C'est aussi une des plus libres, puisque chacun est protégé dans ses droits et dans sa liberté d'opinion, de conscience, de croyance ou de philosophie.

Et chaque citoyen a le droit de choisir celles et ceux qui porteront sa voix dans la conduite du pays, dans la conception des lois, dans les grandes décisions à prendre.

Chacun partage le destin des autres et chacun est appelé à décider du destin de tous : c'est tout cela, la Nation française.

Comment ne pas éprouver la fierté d’être Français ?

Je sais, bien sûr, que certains d’entre nous sont aujourd’hui insatisfaits ou en colère. Parce que les impôts sont pour eux trop élevés, les services publics trop éloignés, parce que les salaires sont trop faibles pour que certains puissent vivre dignement du fruit de leur travail, parce que notre pays n’offre pas les mêmes chances de réussir selon le lieu ou la famille d’où l’on vient. Tous voudraient un pays plus prospère et une société plus juste.

Cette ambition, je la partage. La société que nous voulons est une société dans laquelle pour réussir on ne devrait pas avoir besoin de relations ou de fortune, mais d’effort et de travail.

En France, mais aussi en Europe et dans le monde, non seulement une grande inquiétude, mais aussi un grand trouble ont gagné les esprits. Il nous faut y répondre par des idées claires.

Mais il y a pour cela une condition : n’accepter aucune forme de violence. Je n’accepte pas la pression et l’insulte, par exemple sur les élus du peuple, je n’accepte pas la mise en accusation générale, par exemple des médias, des journalistes, des institutions et des fonctionnaires. Si tout le monde agresse tout le monde, la société se défait !

Afin que les espérances dominent les peurs, il est nécessaire et légitime que nous nous reposions ensemble les grandes questions de notre avenir.

C’est pourquoi j’ai proposé et je lance aujourd’hui un grand débat national qui se déroulera jusqu’au 15 mars prochain.

Depuis quelques semaines, des maires ont ouvert leurs mairies pour que vous puissiez y exprimer vos attentes. J’ai eu de premiers retours que j’ai pu prendre en compte. Nous allons désormais entrer dans une phase plus ample et vous pourrez participer à des débats près de chez vous ou vous exprimer sur internet pour faire valoir vos propositions et vos idées. Dans l’Hexagone, outre-mer et auprès des Français résidant à l’étranger. Dans les villages, les bourgs, les quartiers, à l’initiative des maires, des élus, des responsables associatifs, ou de simples citoyens… Dans les assemblées parlementaires comme régionales ou départementales.

Les maires auront un rôle essentiel car ils sont vos élus et donc l’intermédiaire légitime de l’expression des citoyens.

Pour moi, il n’y a pas de questions interdites. Nous ne serons pas d’accord sur tout, c’est normal, c’est la démocratie. Mais au moins montrerons-nous que nous sommes un peuple qui n’a pas peur de parler, d’échanger, de débattre.

Et peut-être découvrirons-nous que nous pouvons tomber d’accord, majoritairement, au-delà de nos préférences, plus souvent qu’on ne le croit.

Je n’ai pas oublié que j’ai été élu sur un projet, sur de grandes orientations auxquelles je demeure fidèle. Je pense toujours qu’il faut rendre à la France sa prospérité pour qu’elle puisse être généreuse, car l’un va avec l’autre. Je pense toujours que la lutte contre le chômage doit être notre grande priorité, et que l’emploi se crée avant tout dans les entreprises, qu’il faut donc leur donner les moyens de se développer. Je pense toujours que nous devons rebâtir une souveraineté industrielle, numérique et agricole et pour cela investir dans les savoirs et la recherche. Je pense toujours qu’il faut rebâtir une école de la confiance, un système social rénové pour mieux protéger les Français et réduire les inégalités à la racine. Je pense toujours que l’épuisement des ressources naturelles et le dérèglement climatique nous obligent à repenser notre modèle de développement. Nous devons inventer un projet productif, social, éducatif, environnemental et européen nouveau, plus juste et plus efficace. Sur ces grandes orientations, ma détermination n’a pas changé.

Mais je pense aussi que de ce débat peut sortir une clarification de notre projet national et européen, de nouvelles manières d’envisager l’avenir, de nouvelles idées.

À ce débat, je souhaite que le plus grand nombre de Français, le plus grand nombre d’entre nous, puisse participer.

Ce débat devra répondre à des questions essentielles qui ont émergé ces dernières semaines. C’est pourquoi, avec le Gouvernement, nous avons retenu quatre grands thèmes qui couvrent beaucoup des grands enjeux de la Nation : la fiscalité et les dépenses publiques, l’organisation de l’État et des services publics, la transition écologique, la démocratie et la citoyenneté. Sur chacun de ces thèmes, des propositions, des questions sont d’ores et déjà exprimées. Je souhaite en formuler quelques-unes qui n’épuisent pas le débat mais me semblent au cœur de nos interrogations.


Le premier sujet porte sur nos impôts, nos dépenses et l’action publique.
L’impôt est au cœur de notre solidarité nationale. C’est lui qui finance nos services publics. Il vient rémunérer les professeurs, pompiers, policiers, militaires, magistrats, infirmières et tous les fonctionnaires qui œuvrent à votre service. Il permet de verser aux plus fragiles des prestations sociales mais aussi de financer certains grands projets d’avenir, notre recherche, notre culture, ou d’entretenir nos infrastructures. C’est aussi l’impôt qui permet de régler les intérêts de la dette très importante que notre pays a contractée au fil du temps.

Mais l’impôt, lorsqu’il est trop élevé, prive notre économie des ressources qui pourraient utilement s’investir dans les entreprises, créant ainsi de l’emploi et de la croissance. Et il prive les travailleurs du fruit de leurs efforts. Nous ne reviendrons pas sur les mesures que nous avons prises pour corriger cela afin d’encourager l’investissement et faire que le travail paie davantage. Elles viennent d’être votées et commencent à peine à livrer leurs effets. Le Parlement les évaluera de manière transparente et avec le recul indispensable. Nous devons en revanche nous interroger pour aller plus loin.

Comment pourrait-on rendre notre fiscalité plus juste et plus efficace ? Quels impôts faut-il à vos yeux baisser en priorité ?

Nous ne pouvons, quoi qu’il en soit, poursuivre les baisses d’impôt sans baisser le niveau global de notre dépense publique.

Quelles sont les économies qui vous semblent prioritaires à faire ?

Faut-il supprimer certains services publics qui seraient dépassés ou trop chers par rapport à leur utilité ? À l’inverse, voyez-vous des besoins nouveaux de services publics et comment les financer ?

Notre modèle social est aussi mis en cause. Certains le jugent insuffisant, d’autres trop cher en raison des cotisations qu’ils paient. L’efficacité de la formation comme des services de l’emploi est souvent critiquée. Le Gouvernement a commencé à y répondre, après de larges concertations, à travers une stratégie pour améliorer notre santé, pour lutter contre la pauvreté et contre le chômage.
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Comment mieux organiser notre pacte social ? Quels objectifs définir en priorité ?


Le deuxième sujet sur lequel nous devons prendre des décisions, c’est l’organisation de l’État et des collectivités publiques. 
Les services publics ont un coût, mais ils sont vitaux : école, police, armée, hôpitaux, tribunaux sont indispensables à notre cohésion sociale.
Y a-t-il trop d’échelons administratifs ou de niveaux de collectivités locales ? Faut-il renforcer la décentralisation et donner plus de pouvoir de décision et d’action au plus près des citoyens ? À quels niveaux et pour quels services ?
Comment voudriez-vous que l’État soit organisé et comment peut-il améliorer son action ? Faut-il revoir le fonctionnement de l’administration et comment ?
Comment l’État et les collectivités locales peuvent-ils s’améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté et que proposez-vous ?


La transition écologique est le troisième thème, essentiel à notre avenir. 
Je me suis engagé sur des objectifs de préservation de la biodiversité et de lutte contre le réchauffement climatique et la pollution de l’air. Aujourd’hui personne ne conteste l’impérieuse nécessité d’agir vite. Plus nous tardons à nous remettre en cause, plus ces transformations seront douloureuses.
Faire la transition écologique permet de réduire les dépenses en carburant, en chauffage, en gestion des déchets et en transports. Mais pour réussir cette transition, il faut investir massivement et accompagner nos concitoyens les plus modestes.
Une solidarité nationale est nécessaire pour que tous les Français puissent y parvenir.
Comment finance-t-on la transition écologique : par l’impôt, par les taxes et qui doit être concerné en priorité ?
Comment rend-on les solutions concrètes accessibles à tous, par exemple pour remplacer sa vieille chaudière ou sa vieille voiture ? Quelles sont les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier ?
Quelles sont les solutions pour se déplacer, se loger, se chauffer, se nourrir qui doivent être conçues plutôt au niveau local que national ? Quelles propositions concrètes feriez-vous pour accélérer notre transition environnementale ?
La question de la biodiversité se pose aussi à nous tous.
Comment devons-nous garantir scientifiquement les choix que nous devons faire à cet égard ? Comment faire partager ces choix à l’échelon européen et international pour que nos agriculteurs et nos industriels ne soient pas pénalisés par rapport à leurs concurrents étrangers ?


Enfin, il est évident que la période que notre pays traverse montre qu’il nous faut redonner plus de force à la démocratie et la citoyenneté. 
Être citoyen, c’est contribuer à décider de l’avenir du pays par l’élection de représentants à l’échelon local, national ou européen. Ce système de représentation est le socle de notre République, mais il doit être amélioré car beaucoup ne se sentent pas représentés à l’issue des élections.

Faut-il reconnaître le vote blanc ? Faut-il rendre le vote obligatoire ?
Quelle est la bonne dose de proportionnelle aux élections législatives pour une représentation plus juste de tous les projets politiques ?

Faut-il, et dans quelles proportions, limiter le nombre de parlementaires ou autres catégories d’élus ?
Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil Économique, Social et Environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ? Faut-il les transformer et comment ?
En outre, une grande démocratie comme la France doit être en mesure d’écouter plus souvent la voix de ses citoyens.

Quelles évolutions souhaitez-vous pour rendre la participation citoyenne plus active, la démocratie plus participative ?

Faut-il associer davantage et directement des citoyens non élus, par exemple tirés au sort, à la décision publique ?
Faut-il accroître le recours aux référendums et qui doit en avoir l’initiative ?

La citoyenneté, c’est aussi le fait de vivre ensemble.

Notre pays a toujours su accueillir ceux qui ont fui les guerres, les persécutions et ont cherché refuge sur notre sol : c’est le droit d’asile, qui ne saurait être remis en cause. Notre communauté nationale s’est aussi toujours ouverte à ceux qui, nés ailleurs, ont fait le choix de la France, à la recherche d’un avenir meilleur : c’est comme cela qu’elle s’est aussi construite. Or, cette tradition est aujourd’hui bousculée par des tensions et des doutes liés à l’immigration et aux défaillances de notre système d’intégration.

Que proposez-vous pour améliorer l’intégration dans notre Nation ? En matière d’immigration, une fois nos obligations d’asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ? Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

La question de la laïcité est toujours en France sujet d’importants débats. La laïcité est la valeur primordiale pour que puissent vivre ensemble, en bonne intelligence et harmonie, des convictions différentes, religieuses ou philosophiques. Elle est synonyme de liberté parce qu’elle permet à chacun de vivre selon ses choix.

Comment renforcer les principes de la laïcité française, dans le rapport entre l’État et les religions de notre pays ? Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?
Dans les semaines qui viennent, je vous invite à débattre pour répondre à ces questions déterminantes pour l’avenir de notre Nation. Je souhaite aussi que vous puissiez, au-delà de ces sujets que je vous propose, évoquer n’importe quel sujet concret dont vous auriez l’impression qu’il pourrait améliorer votre existence au quotidien.

Ce débat est une initiative inédite dont j’ai la ferme volonté de tirer toutes les conclusions. Ce n’est ni une élection, ni un référendum. C’est votre expression personnelle, correspondant à votre histoire, à vos opinions, à vos priorités, qui est ici attendue, sans distinction d’âge ni de condition sociale. C’est, je crois, un grand pas en avant pour notre République que de consulter ainsi ses citoyens. Pour garantir votre liberté de parole, je veux que cette consultation soit organisée en toute indépendance, et soit encadrée par toutes les garanties de loyauté et de transparence.

C’est ainsi que j’entends transformer avec vous les colères en solutions.

Vos propositions permettront donc de bâtir un nouveau contrat pour la Nation, de structurer l’action du Gouvernement et du Parlement, mais aussi les positions de la France au niveau européen et international. Je vous en rendrai compte directement dans le mois qui suivra la fin du débat.

Chères Françaises, chers Français, mes chers compatriotes, je souhaite que le plus grand nombre d’entre vous puisse participer à ce grand débat afin de faire œuvre utile pour l’avenir de notre pays.

En confiance,

Emmanuel MACRON


Participer au Grand Débat National sur : 
https://granddebat.fr/
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Francis Chouat élu député de notre circonscription !

11/27/2018

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Francis Chouat, soutenu par La République en Marche a remporté ce scrutin législatif. Élu de terrain et doté d’une grande expérience des problématiques locales et des enjeux de notre circonscription, il porte désormais la voix des habitants d’Evry-Courcouronnes, Corbeil-Essonnes, Lisses, Bondoufle et Villabé dans l’enceinte du Palais Bourbon.
Résultats :

Inscrits : 72227
Votants : 12319
Blancs : 739
Nuls : 464
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AMRANI Farida : 4546 (40,90 %)
CHOUAT Francis : 6570 (59,10 %)
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Le Plan Pauvreté : s'attaquer aux inégalités !

9/14/2018

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À Corbeil-Essonnes, près d'un tiers de la population vit avec les minima sociaux. Une situation insupportable tant individuellement que collectivement ! Pour en sortir,  le Plan Anti-Pauvreté présenté le 13 septembre par le Président de La République apporte des solutions concrètes et financées dans de nombreux domaines qui touchent au quotidien de nos concitoyens.
Saviez-vous que…
👶 1 enfant sur 5 vit aujourd’hui sous le seuil de pauvreté 
👨‍👧 1/3 des familles monoparentales est en situation de pauvreté 
🥗 21% des Français n’ont pas les moyens de s’alimenter sainement ​
Cette réalité est accablante, et elle n’est malheureusement pas nouvelle. Face à elle, les gouvernements successifs ont tous adopté la même stratégie curative : soigner, tenter de guérir les maux aposteriori, « adoucir » la pauvreté, ne traiter que ses symptômes.

Le résultat ? La pauvreté est devenue un héritage familial. Des inégalités de destins se sont installées : selon l'endroit où vous êtes né, la famille dans laquelle vous avez grandi, l'école que vous avez fréquentée, votre sort est le plus souvent scellé.

Il faut aujourd’hui 108 ans à un enfant pauvre pour que les descendants de ses descendants accèdent à la classe moyenne. 108 ans. C’est 6 générations.

Ce constat, nous le refusons. Nous refusons la fatalité sociale. Comment agissons-nous ? En détruisant les inégalités à la racine, en réparant les inégalités de destin.

➜ Car le cœur des inégalités se structure dans les premières années de la vie, le cœur du combat est dans la prévention et l’éducation. C’est pourquoi :
- Nous dédoublons les classes de CP et CE1 dans les quartiers prioritaires.
- Nous rendons l’école obligatoire dès 3 ans.
- Nous instaurerons des repas de cantine à 1€ pour les plus démunis.
- Nous offrirons des petits-déjeuners aux élèves des quartiers les plus difficiles.

Car un enfant qui a faim ne peut pas se concentrer, car un enfant qui ne maîtrise pas le même vocabulaire que son camarade, un peu plus aisé, ne peut pas apprendre dans de bonnes conditions.

➜ Car chaque année, 60 000 jeunes se retrouvent ni en école, ni en formation, ni en emploi et deviennent des « perdus de vue », nous allons :
- Étendre l’obligation de formation jusqu’à 18 ans. Aucun jeune ne pourra désormais se trouver sans solution.
- Étendre l’aide sociale à l’enfance jusqu’aux jeunes adultes âgés de 18 à 21 ans.
- Faciliter l’accès à l’apprentissage et la formation professionnelle et les rendre plus attractifs.

➜ Car 1/3 des bénéficiaires du RSA ne le demandent pas et que la multiplication des aides sociales entraîne du flou et de l’incompréhension :
- Un service public de l’insertion sera mis en place pour garantir l’universalité des droits.
- Un Revenu Universel d’Activité sera créé, il fusionnera un certain nombre d’aides sociales.

Au total, c’est 8 milliards d’euros qui sont investis sur 4 ans. C’est un investissement sans précédent car nous savons qu’il n’y a pas d’autres solutions pour éradiquer la grande pauvreté.

Le cœur même de notre politique sociale n'est pas que les plus pauvres vivent un tout petit peu mieux dans la pauvreté, c’est qu’ils en sortent.

« Nous pouvons éradiquer la grande pauvreté dans notre pays.
Si ce n’est pas la France qui mène cette bataille, personne ne la mènera.
Alors nous allons le faire. »
 Emmanuel Macron

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C'est la rentrée à Corbeil-Essonnes

9/3/2018

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​C'est la rentrée et toute l'équipe de Corbeil-Essonnes En Marche souhaite aux enseignants, aux équipes pédagogiques et aux enfants une très bonne année scolaire.
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Cette année la rentrée est marquée par des nouveautés. Le gouvernement et le ministre de l'Éducation sont au travail pour renforcer l'école de la république et développer de nouveaux dispositifs.
Le dédoublement des classes de CP et de CE1 sont un exemple de dispositif approuvé par les parents comme par les enseignants. Le Plan Mercredi est une nouveauté qui permettra aux enfants de bénéficier d'activités périscolaires de qualité... Voici plus en détails les mesures en faveur de la réussite et de l'épanouissement des enfants.

Le dédoublement des classes de CP et maintenant de CE1 :

Il faut agir à la racine pour combattre la difficulté scolaire, c'est-à-dire dès les premières années des apprentissages fondamentaux (CP et CE1). À la rentrée 2017, le choix est de concentrer l'effort là où c'est le plus nécessaire : dans les classes de CP des REP+. L'objectif global dans lequel s'inscrit cette mesure est "100% de réussite en CP" : garantir, pour chaque élève, l'acquisition des savoirs fondamentaux - lire, écrire, compter, respecter autrui. À la rentrée 2018, les classes de CP en REP et de CE1 en REP+ et REP seront également dédoublées. C'est la mesure la plus importante prise en faveur de l'éducation prioritaire depuis la création des Zep en 1981.

Le Plan Mercredi : pour des activités de qualité :

Ce dispositif crée un cadre de confiance pour les familles, les collectivités et leurs partenaires. Il leur permet de proposer, à compter de la rentrée 2018, des activités de grande qualité le mercredi. 
Le label Plan mercredi ouvre ainsi une nouvelle étape dans l’offre périscolaire en garantissant aux familles la qualité éducative des activités proposées et le savoir-faire des personnels. Le soutien renforcé des pouvoirs publics aux collectivités va contribuer à cette dynamique et leur permettre d’offrir davantage d’activités.

Le Plan mercredi fédère tous les acteurs. Associations et établissements culturels (bibliothèques, musées, conservatoires, etc.), associations sportives, fédérations d’éducation populaire, sites naturels (parcs, jardins, fermes pédagogiques) vont joindre leurs énergies pour proposer aux enfants une offre périscolaire riche et diversifiée. Sport, culture, nature, activités manuelles et numériques contribueront à leur épanouissement.

Avec le Plan mercredi, les temps de l’enfant sont repensés dans leur globalité, en articulant mieux les temps scolaires, périscolaires et extrascolaires.

La scolarisation des élèves en situation de handicap : une exigence !La loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation de la citoyenneté des personnes handicapées a permis des avancées majeures dans la politique de scolarisation des élèves en situation de handicap. Le service public d’éducation doit veiller à l’inclusion scolaire de tous les enfants, sans aucune distinction. Une approche nouvelle est consacrée : quels que soient les besoins particuliers de l’élève, c’est à l’école de s’assurer que l’environnement est adapté à sa scolarité. 

Depuis 2006, le nombre d’élèves en situation de handicap scolarisés en milieu ordinaire a plus que doublé. Le ministère chargé de l’Éducation nationale a fait des efforts sans précédent pour améliorer la scolarisation en milieu ordinaire des élèves en situation de handicap. Les différents dispositifs de scolarisation, les parcours de formation individualisés et les aménagements personnalisés en fonction des besoins des élèves sont autant de mesures participant à l’inclusion scolaire. 

La santé des élèves : un suivi constant

Le parcours éducatif de santé (PES) est structuré autour de trois axes :
  • l’éducation à la santé, fondée sur le développement des compétences psychosociales en lien avec le socle commun de connaissances, de compétences et de culture, afin d’accompagner chacun dans la mise en œuvre de choix responsables en matière de santé
  • la prévention, ensemble des actions centrées sur une ou plusieurs problématiques de santé prioritaires ayant des dimensions éducatives et sociales (conduites addictives, alimentation et activité physique, vaccination, contraception, protection de l'enfance par exemple) qui tendent à éviter la survenue de maladies ou de traumatismes ou à maintenir et à améliorer la santé
  • la protection, qui intègre des démarches visant à créer un climat d'établissement favorable à la santé et au bien-être de tous les membres de la communauté éducative, et des ressources disponibles pour les élèves et leurs familles en matière de santé comme les visites médicales et de dépistage, etc.

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Nous renforçons l’arsenal juridique pour lutter contre le crime du viol

5/30/2018

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Retour sur les grands points du projet de loi contre les violences sexistes et sexuelles porté par Marlène Schiappa. Focus et désintox sur l’« article 2 ».
​Deux mois après que le Gouvernement a dévoilé son plan d’action pour l’égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa et Nicole Belloubet présentent aux députés le projet de loi contre les violences sexuelles et sexistes.
Nous renforçons puissamment l’arsenal juridique pour lutter contre le viol
  • Le délai de prescription passe de 20 à 30 ans pour les crimes sexuels commis sur mineurs : c’est essentiel pour les victimes de syndromes post-traumatiques qui oublient le trauma pendant une très longue durée.
  • La répression des viols et abus sexuels commis sur mineurs de moins de 15 ans est renforcée : les peines sont doublées, notamment lorsque l’auteur est majeur ;
  • Le caractère incestueux pour les viols et agressions sexuelles commis sur mineur est élargi. De nouvelles situations sont prises en compte : les cousins et les cousines sont désormais compris dans le périmètre de l’inceste.

D’autres mesures sont prises pour mieux prévenir les victimes de violences sexuelles et sexistesAutre mesure phare du projet de loi, la création d’une amende forfaitaire pour « outrage sexiste ». Les forces de l’ordre pourront dès lors verbaliser en flagrant délit le harcèlement de rue, fidèlement à la promesse de campagne d’Emmanuel Macron. En plus, ce délit sera sanctionné d’une amende de 90 euros, pouvant aller jusqu’à 3 000 euros en cas de récidive.
Enfin, les délits de harcèlement moral et sexuel sont également pris en compte quand ils ont lieu sur internet par les réseaux sociaux (les « raids numériques »).



DÉSINTOX : l’article 2 du projet de loi ne va pas déclasser la lutte contre le viol. Bien au contraire !Plusieurs personnalités ont demandé le retrait de « l’article 2 » qui prévoit notamment de renforcer la répression des infractions sexuelles sur mineurs.
Le reproche que ces personnalités portent à cet article est fondé sur une crainte de requalifier le viol d’un crime à un délit en créant une nouvelle catégorie juridique et donc de faire juger cet acte en tribunal correctionnel plutôt qu’en Cour d’assises. Or, quelle est la réalité ?
Le viol est un crime et le restera. Une violence sexuelle est reconnue comme viol par la justice sous certaines conditions définies par l’article 222-23 du Code pénal qui dispose que : « Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui par violence, contrainte, menace ou surprise est un viol » (l’un des quatre critères doit être rempli).
Aujourd’hui, faute de pouvoir le caractériser conformément à cet article (par exemple, de prouver qu’il y a eu contrainte ou menace), le juge requalifie souvent la peine en « atteinte sexuelle » qui est un délit. Notre réforme vise à compléter l’arsenal juridique de lutte contre les violences sexuelles avec une nouvelle catégorie intermédiaire. Nous créons l’acte « d’atteinte sexuelle avec pénétration » ce qui donnera plus de latitude aux magistrats pour rendre un jugement plus sévère. Cela évitera de conclure, faute d’autres possibilités juridiques, à un acquittement ou à une « atteinte sexuelle » quand une pénétration non-consentie a eu lieu.
Dans le cadre de cet article, nous clarifions deux éléments pour pouvoir caractériser plus simplement le viol :
  • Les circonstances que le juge peut prendre en compte pour qualifier une violence sexuelle de viol en cas de contrainte ou de surprise sont précisées.
  • Le critère de « discernement » est créé pour évaluer une relation entre une personne mineure de moins de 15 ans et un majeur. Il est précisé pour juger si cette relation sexuelle a eu lieu avec un consentement libre et éclairée ou non.
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Corriger les inégalités sociales à la racine

5/30/2018

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L’école est le lieu où se prépare l’avenir de chaque élève. C’est notre meilleur rempart pour lutter contre les inégalités sociales à la racine et pour protéger les plus fragiles.

C’est pourquoi nous bâtissons une école de la confiance, où chacun maîtrisera les savoirs fondamentaux à la sortie, où chacun sera accompagné quand il fera face à des difficultés et pourra bénéficier de la liberté de cultiver ses talents afin de construire son projet académique et professionnel. Au-delà de l’école, c’est l’environnement quotidien de chaque jeune que nous souhaitons améliorer. Nous faisons en sorte que chacun puisse vivre, étudier et s’insérer dans la vie professionnelle dans les meilleures conditions.

  • La scolarité obligatoire à 3 ans. À partir de la rentrée 2019, la scolarité deviendra obligatoire dès l’âge de 3 ans, contre 6 ans jusqu’à présent.

  • Priorité aux territoires fragiles. Depuis la rentrée scolaire 2017, nous avons diminué le nombre d’enfants par classe de CP dans les quartiers prioritaires pour que les enfants puissent apprendre dans de meilleures conditions. La mesure sera ensuite étendue à toutes classes de CP et CE1 des zones prioritaires et concernera 340 000 élèves au total.

  • Donner le goût des maths. Nous voulons redonner le goût des mathématiques aux enfants. Dès le CP,  les enfants seront initiés aux 4 opérations: additions, soustractions, multiplications et divisions.

  • Devoirs faits à l’école. Pour lutter contre le décrochage scolaire, nous offrons un soutien scolaire gratuit à tous les collégiens. Ce soutien sera étendu à l’école primaire à la rentrée 2018. 10 000 volontaires seront recrutés pour encadrer les élèves, notamment à travers le service civique.
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Depuis un an nous travaillons sans relâche, pour vous, pour la France

5/30/2018

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Nous travaillons avec l’exigence d’être, à chaque instant, à la hauteur de la promesse qu’Emmanuel Macron vous a faite en se présentant à l’élection présidentielle : dépasser les clivages politiques d’un autre temps, mener avec courage les réformes qui avaient trop longtemps tardé, trouver des solutions concrètes et efficaces pour redonner de la force à notre pays et retrouver confiance dans notre capacité collective.

Beaucoup de choses ont été faites en un an: pour corriger les inégalités sociales à la racine, relancer l’emploi, renforcer votre sécurité, défendre notre planète, moderniser la vie politique... Nous l’avons dit, nous le faisons, et nous continuerons. Votre exigence à voir les changements concrets dans votre quotidien est aussi la nôtre. Les premiers signaux positifs sont là : la baisse du chômage est amorcée, l’investissement repart, mais nous ne nous en satisfaisons pas.

​Le projet de transformation auquel nous travaillons nous voulons qu’il soit concret pour vous, ressenti dans votre quotidien. Nous voulons vous donner les moyens de faire face aux difficultés, aux imprévus, pour que vous puissiez saisir les opportunités qui se présentent à vous. En un mot: pour ne pas subir, pour pouvoir choisir votre vie.

CHRISTOPHE CASTANER Délégué général de La République En Marche
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Décès de Serge Dassault

5/30/2018

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Serge Dassault est décédé cet après-midi. Mes premières pensées vont à sa famille et à ses proches. Elles vont aussi à ses amis de Corbeil-Essonnes qui ont travaillé à ses côtés au service de notre ville et dont la peine doit être grande ce soir.

Sans relâche, sans retraite, il aura œuvré comme capitaine d’industrie et comme sénateur-maire de notre ville. Cet engagement force le respect pour l’homme quand bien même on partage avec l’élu des désaccords politiques. 

Avec Serge Dassault, c’est toute une époque qui disparait. Une page se tourne ce soir à Corbeil-Essonnes, dans le silence du recueillement.
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